Synopsis :
Au pays de l’Aigle, la coutume ancestrale, le Kanun, fait force de loi ! Il n’y est question que de vendettas et dettes de sang… Et dans le nord de l’Albanie, entre contrebandiers, armées des Balkans et clans mafieux, le Kanun a fort à faire ! Susan s'y retrouve prise au piège avec son fils Bobby entre les absurdités du régime d’Enver Hoxha et la perte de ses illusions politiques.
Des années plus tard, en Irlande, terre celtique de beauté et de mystères, Ciara McMurphy, flic de son état, coule des jours tranquilles entre affaires courantes, Guinness et feux de tourbe jusqu’à ce qu’un rapace ne vienne troubler sa quiétude…
Bobby le fou, un fantôme du passé, un monstre dressé à tuer, semble de retour sur ses terres ancestrales avec l’étrange Markus Noli, émissaire d’Interpol, à ses trousses. Et dans leur sillage, une brochette de cadavres qui commencent à faire désordre…
Des rochers d’Aughrus Point écrasés par les vagues aux plages étincelantes de Bunowen Bay, Ciara, pour s’extirper des griffes de ces vautours, devra très vite apprendre à danser… Parce qu’ici, comme le dit la chanson : « La folie, ça se danse ! »
Mon avis :
Décembre 1981, Susan, journaliste, souhaite interviewer le Enver Hoxha, dictateur de l’Albanie. Mais elle a caché ses origines irlandaises et des soupçons pèsent sur elle. Il lui faut fuir ce pays avec son fils Bobby.
Octobre 2015, en Irlande, Ciara McMurphy, une jeune flic est appelée avec Bryan Doyle sur une scène de crime. Ils vont devoir collaborer avec Interpol. Les voilà tous les deux à fouiner mais leur enquête va déranger.
Entre légendes Albanaises, le Kanun, et les clans irlandais qui érigent leurs lois, l’ambiance est tendue et l’atmosphère anxiogène.
L’aigle des tourbières est un polar addictif. Gérard Coquet nous entraîne dans une incroyable histoire à déguster avec une bonne Guinness 🍺 ou un bon whisky 🥃
À lire sans aucune modération 😉
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